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Comment j’ai commencé à courir, et comment j’ai failli m’arrêter

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Lorsque j’ai acheté un pantalon pour courir, j’avais plusieurs motivations. D’une part, je me disais que cela pourrait m’aider à organiser des sorties en plein air, pour m’aérer l’esprit et décompresser. D’autre part, j’avais besoin d’une sérieuse remise en forme après quelques kilos pris depuis mon retour à Paris après mes études, et surtout parce que j’étais devenue plutôt molle. J’étais constamment fatiguée, et je peinais à monter des escaliers.

Une petite année de natation m’avait déjà permise de raffermir ma silhouette et d’améliorer mon endurance. Pourtant il m’en fallait plus et j’ai été attirée par la course à pieds. Comment ? En voyant toutes les personnes courir si bien dans le bois à côté de mon domicile. Je me disais que ces gens avaient l’air de se sentir si bien d’accomplir plusieurs fois par semaines de petits exploits.

Le running, j’ai donc vu cela comme un sport où l’adversaire était moi-même. Il me fallait vaincre ma fainéantise, vaincre la douleur, vaincre les a priori de « je suis nulle en sport ». Les débuts ont alors été très difficiles. Ma première séance fut un parcours de 3 Km en février 2013 sur un terrain vallonné et j’ai cru que j’allais cracher 5 fois mes poumons, ou faire une crise cardiaque.

Les fois suivantes, j’ai été moins exigeante en privilégiant un terrain plat en forêt et en écoutant mon corps. Je courais tant que je pouvais, je marchais si j’en ressentais le besoin, et petit à petit j’ai augmenté mes objectifs en endurance. Le point culminant de ce parcours fut de passer le palier de 45 minutes en août 2013.
En comparaison avec d’autres personnes, mon rythme de progression a été lent mais je m’y sentais bien. Je veux surtout me sentir à l’aise dans ma course. Et n’ayant aucun objectif de temps, je me contente de me donner des objectifs d’endurance et éventuellement de vitesse pour suivre mes progrès.

Et puis un jour, mi-août, j’ai eu mal. J’ai même eu très mal. Mes sorties de running se sont presque constamment terminées par une sérieuse douleur au niveau du tibia gauche à raison de 3 séances par semaine. J’ai d’abord tenté de ralentir le rythme, puis j’ai continué à avoir mal. C’est ainsi qu’on me présenta la périostite tibiale. De longue séance de glaçage n’ont pas suffi à retrouver l’envie de courir. Et je me suis résolu à faire un arrêt en suivant les conseils de mes amis coureurs et de mon médecin.

Aujourd’hui, cela fait 1 mois que je n’ai pas couru, et je compte reprendre ce week-end. Souhaitez-moi bonne chance !

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Bonjour à toutes et à tous, je m’appelle Nathalie. À travers ce blog, je veux me partager ma passion pour le sport et le lifestyle fitness.

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